Théâtre
4 QUESTIONS À YOSHI OIDA
Maxime Kurvers | Yoshi Oida

Maxime Kurvers interroge le rôle des interprètes et du théâtre.

Yoshi Oida est souffrant, et il se voit dans l’impossibilité de venir jouer 4 questions à Yoshi Oida, tel que le spectacle avait été imaginé.
Sur la proposition de Maxime et de Yoshi lui-même, les 5 théâtres qui s’associent pour vous proposer ce spectacle ont décidé de le maintenir. Car à travers les témoignages de cet immense interprète, le spectacle traite précisément de la fragilité de l’instant et de l’irréductible force de vie qui anime l’acteur. Nous vous proposons d’aller au-delà de ce coup du sort, justement parce qu’il nous rappelle l’éphémère du théâtre, art où présence et absence se mêlent.
Maxime et Yoshi imaginent en ce moment même une version alternative dans laquelle Maxime, bien que seul en scène, poursuit sous d’autres modalités le jeu de questions-réponses avec un Yoshi dont la vivacité de cœur et d’esprit continuera d’habiter le théâtre, alors même qu’il en sera physiquement absent.

Chaque soir se poursuivra le dialogue engagé avec Mishima, Peter Brook ou Martin Scorsese, avec les cultures orientales comme occidentales, et surtout avec des publics qui, demain comme hier, partageront l’intimité, les engagements et les convictions d’un homme dont le métier d’acteur ne cesse pas de se confondre avec le métier de vivre – même quand vivre prend un tour inattendu.

En partenariat avec le Théâtre Garonne

Dans le cadre de La Biennale

Distribution

Écriture, dramaturgie et interprétation Maxime Kurvers et Yoshi Oida / Lumière Manon Lauriol

Dans la presse

« Un cheminement pour aider les humains à se situer dans le monde. » Télérama

Production La Commune CDN d’Aubervilliers, MDCCCLXXI (Paris). Avec le soutien de la Maison de la culture du Japon à Paris – Fondation du Japon, The Saison Foundation (Tokyo). Coréalisation Maison de la culture du Japon à Paris ; Festival d’Automne à Paris. Avec le soutien de la Fondation pour l’étude de la langue et de la civilisation japonaises, abritée par la Fondation de France et de la Fondation franco-japonaise Sasakawa.

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